' Au Claire de la Lune '

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Ont entendait une petite fille chanter les notes de musiques en galopant vers nul ne sais trop ou. Cette petite fille laissait flôtté sa chevelure brune chocolaté dans . Elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait l'impression qu'elle devait se rendre dans une ruelle près de son village. La même ruelle ou elle avait été et rencontré l'assosiation SansNom. Elle baisa son regard vers son bracelet. Son magnifique bracelet qui lui était apparut part magie après sa rencontre avec les membres de cette confrérie. Elle le regarda attentivement, comme s'était joli. Un bracelet en or avec des perles rouges. Elle n'avait jamais vu un truc avec autant de valeur, et encore moins sûr elle. La jeune fillette sautillait joyeusement. Elle chantait maintenant '' Au Claire de la Lune ''. Elle n'avait pas réellement conscience du danger dans lequel elle se jetait sans rien demander, ou encore se soucier du moindres danger. La jeune fillette aux cheveux bruns atteignit enfin la ruelle ou elle était allez quelques jours auparavant. Elle regardait l'endroit sombre qui se trouvait devant elle avec un magnifique sourire. Elle ne savait pas pourquoi mais elle se sentait très à l'aise avec ça. Cette endroit lugurbe, froid, humide. Loin d'être un endroit ou traînée, mais elle avait l'étrange sensation qu'elle devait restée. Elle le savait, et même si elle aurait aimée resté elle ne le pouvait pas, s'était comme ci c'est pied était coller au sol, l'empêchant de quitter l'endroit. Elle ressentit au même instant un vent froid, un vent qui lui était familier depuis quelques semaines déjà. S'était son amie, sa meilleure amie... Kami. Kami était un fantôme que seule elle pouvait voir. Quelques fois elle parlait ou riait toute seule, ce qui inquiètait Tifa, mais aujourd'hui elle est habituer et croit que Kami est une simple amie imaginaire... si seulement elle savait. Marlene pris la parole.

- Kami, tu es là ? Je sais que c'est toi. Tu vois ? Je te mentais pas, je suis bel et bien venue ici. C'est ici-même que la femme au à la beautée froide ma toucher. C'est ici que le bracelet m'est apparût. T'as vue Kami ? C'est beau hein ? Dis-le Kami. Je te connais, tu aimes les endroits sombres et lugurbe. Comme le grenier dans le bar. Regarde... elle pointa un rond noir... elle était là, ici cette dame à la chevelure de glace. Je n'avais jamais vue des cheveux aussi... bleu de toute ma vie. Je crois qu'ont va l'appeler la Dame Glaciale. Oui. Tu es d'accord ? Dame Glaciale... j'aime beaucoup...

Elle cessa de parler. Elle avait dit tout ça en prennant de nombreuses pauses silencieuse, en gardant toujours un ton neutre mais effrayant à la fois. Marlene regardait le fameux rond noire qu'elle venait tout juste de montré à Kami. Elle ne savait pas pourquoi, mais il l'obsèdait ce rond. Il n'était pas normal. Il semblait moisit. Mais s'était impossible qu'un mur de brique soit moisit. La fillette tendue la main vers le rond, comme si elle était aspiré part lui. Mais comme toujours, elle n'allait pas bouger d'un pouce. Elle ne pouvait pas bouger. Le vent froid que provoquait son amie lorsqu'elle était près devenu glaciale. Elle était présentement à côté d'elle. Elle tourna sa tête. Seule elle pouvait voir l'adolescente qu'était Kami. Si quelqu'un arrivait, l'on ne pouvait voir qu'une fillette qui parle dans le vide.

- Je ne suis pas une menteuse hein ? Tu n'avais pas le droit de me dire ça... non tu n'avais aucuns droits. Dis Kami... tu crois que Papa va renrtée bientôt ? Moi j'ai hâte de lui montré mon nouveau bracelet. Ne lui dis pas que je les volers surtout hein ! Parce que c'est des mensonges, et le mensonge c'est mal. J'ai pas envie de me faire punir. Crois-tu qu'un jour tu pourrais apparaître devant Tifa ? Elle me croit folle. Dit-elle en baissa la tête.

Même si l'endroit était froid, elle ressentit un léger chaud au niveau du poignet droit. Ou était son bracelet. Marlene secoua la main, mais la chaleur restaient là. Certes pas intense mais elle n'aimait pas ça. Elle regarda son bracelet, et ensuite son amie. Peut-être que s'était elle. Elle essaya de ne plus pensé à la chaleur. Regardant son amie et lui fit un magnifique sourire. Elle se remit à chantonné quelques comptines. Sa voix disparaissait dans le vent. Un brouillard lourd commenca à se lever lentement autour d'elles. Marlene cessa de chanter aussitôt. Elle arrêta de chanter à partir de " Prête moi ta plume pour écrire un mot, ma chandelle est morte je n'ai plus de feu... ". Et étrangement un ambiance sombre commenca à se lever. La fillette regarda Kami affolée. Elle respira de plus en plus rapidement. Elle avait très peur. Elle murmura alors à Kami.

- J'ai peur Kami ! Fais quelques choses Kami ! J'ai peur !

Elle ne cessait pas de répétée qu'elle avait peur. Elle n'aimait pas le temps qu'il fessait, non... non pas du tout. Elle détestait ça. Ses bras le long de son corps, ces doigts bougeait comme s'ils avaient des fourmis dans les mains. Elle détestait ça, cette sensation. Le visage comme pétrifier, elle ne voyait que le rond d'être venue ici. Un froid se tenait sûr place, la seule chaleur qu'elle ressentait était autour du poignet... S'il vous plaît, réveillez moi quelqu'un noir qui n'avait pas sombrer dans le brouillard. Oh s'était une bien mauvaise idée de revenir ici. Pourquoi n'est-elle pas restée avec Denzel ? Elle regrettait amerement pensa Marlene.

Fine démarches tumultueuses perçant le fin secret nocturne, houleuse silhouette envelopper d’un délicat tissu nacré de pâlotte couleur brillant d’un rouge sang tel le flot de vie coulant en les veines humaines, longue et fine chevelure d’un teint passable contrastant de ce paysage nocturne enténébré alors que les fines mèches rosâtres galopaient dans le vent, créant valse et troublante danse portant à confusion. Une peau aussi lisse que la neige, les pas aussi délicats qu’une dauphine s’avançant vers son trône, jouvencelle imaginaire sortant de la rêverie d’une demoiselle peine âgée, cette délicate jeune dame, concubine délaissée et demoiselle emprise au désespoir flagrant du savoir faire et de l’espoir vivace, s’approcha d’un pas dansant vers la jeune enfant arborant un front intelligent et un certain savoir vivre dans les moindres geste exécutés par la magicienne au regard vitreux et livide vain d’émotions telle la joie de vivre. D’une pirouette où sa longue chevelure rosâtre vint la rencontre fortuite de multiples mèches cachant ce regard mielleux, d’un silence digne d’un loup sauvage traquant sa proie d’une démarche affamée cependant discrète, sorcière manipulant le feu, flamme dansante des enfers enténébrés effrayant les poupons à l’heure du coucher, croyance proféré aux petits enfants afin de calmer leurs ardeurs rebellâtes, vint s’approcher de la rêveuse. Demoiselle de la nuit, dauphine nocturne, princesse des rêves de cette douce enfant qu’était Marlene, Kami, délicate chérubine au cœur enflammé, attisant la flamme s’y chaumant depuis des lustres accumuler lors des multitudes souffrances éprouver par la belle, s’avançait d’un pas vagabond, tête haute vers cette jeune enfant rêveuse qui, d’une voix chaleureuse et enjoué, amenant joie et une douce lumière perçant les fins ténèbres en le cœur de la belle aux cheveux rosés, chantonnait comptines de son enfance préalablement nommé « Au Clair de la Lune ». Lune, astre lumineux veillant sur les habitants à l’heure du coucher, laissant une mince lumière aux courageux voyageurs quittant les lieux de leur chaud lit douillet afin de conquérir l’aventure et emplir leur mémoire de souvenirs ardent et de conte à ébruité telle un doux murmure quittant les lèvres de cette enfant qui venait de s’apercevoir que son amie, jouvencelle arborant un doux kimono rouge tacheté de papillon, même petit insecte volant décorant sa longue chevelure, était présente en ses lieux lugubres. C’est en cessant le pas, danse nacré de rythme, que Kami prêta une douce oreille aux paroles de Marlene.

L’enfant affirma savoir que la dame se trouvait présente en ses lieux, et lui fit part de ses songes. Lieux lugubre que la jouvencelle assombrit aimait bien, comme le témoignait la jeune alchimiste en herbe. Courageuse petite enfant ayant vécue beaucoup depuis sa tendre enfance, ayant créé Kami dans son être imaginaire avec tant d’espoirs que la magicienne devint réelle. De ses lippes en mouvance, Marlene fit part d’une courte aventure ayant eu lieu avec une dame d’une beauté glaciale. Lui donnant ensuite le pseudonyme de Dame Glaciale, entama ensuite une discussion concernant une héroïne connue sur Gaia, monde enténébré depuis le passage du Maudit, Sephiroth. Maudit, était-ce le terme approprié ? Soudainement, la rêveuse vint sur le délicat sujet de la fourberie, le mensonge. Marlene désirait ardemment, en son petit cœur d’enfant, cœur qu’elle avait sur la main, que la magicienne ne révèle pas qu’elle avait dérobé ce bracelet. Cependant, notre jeune mage ne connaissait point la véritable vérité de la provenance de cet objet scintillant de mille feu dont la rêveuse semblait porté une attention particulière. Tifa Lockheart, troublante combattante au cœur séquestrer comme le témoignait si bien son patronyme connu, ne croyait pas l’enfant concernant l’appartenance de Kami en ce monde. Qu’était Kami ? Nulle être vivant ne pouvait l’affirmer, hormis elle-même, mais rares sont ses lippes mouvantes. Un miasme marmoréens vint s’élever entourant la lugubre ruelle d’un sombre brouillard n’inspirant guère confiance, créant panique en le cœur de Marlene qui s’exclama avoir peur auprès de la sorcière noire. D’une joliesse enivrante, délicat mouvement inspirant confiance et amitié, d’une douce aubade, souffle blasé dont le vent eu le secret, la magicienne prit la parole d’un chuchotis peine perceptible afin de rassuré la rêveuse…

« N’est crainte, Marlene… Je reviendrais… Ce n’est que Dame Glaciale… »

Souffle s’évanouissant d’une paresseuse tombé tel le soleil allant finalement disparaître au gré du temps avant d’être oublier dans les murmures lointains. Troublante vue vint alors s’imposé aux jeunes personnes, imposant à Kami de s’amenuisé délicatement avant de complètement s’éteindre, laissant la rêveuse en compagnie de cette Dame Glaciale qui, lentement, créait une aura de puissance en ces lieux lugubres. Ombre enténébré, laissant paraître de délicates pupilles verdâtres tel le chatoyant éclat d’une émeraude scintillante, minois invisible laissant une Ombre parlé à la place de la véritable personne se cachant derrière ce voile mystique ambré laissant la séraphine une discrétion passable face à ce limier qui fut sienne depuis le jour du choix, afin de retourner la délicate chérubine aux fleurs, soit Aerith. Le crépuscule étant à perte de temps à présent, loin vers l’avant dans les flots du sable du temps, Ayame avait à présent assez de minutes pour émettre les palabres nécessaires à la discussion avec cette innocente enfant. Rêveuse, fut-elle. Telle qu’elle. Ayame n’émit cependant aucune parole pendant la durée de quelques secondes s’écoulant telle le flot d’une délicate rivière au gré du vent, avant de caché ses perles vertes derrières ses paupières, ne laissant qu’un vague graphique sillonnant et grisonnant le parterre, créant un fin grésillement désagréable pour les oreilles de l’enfant, la kunoichi n’entendant pas elle-même les sons émit par l’hologramme de sa propre personne. D’un mouvement blasé, la sévère demoiselle laissant lentement retomber son bras lever pour créé l’incantation de sa propre image ombré le long de son corps envelopper d’un kimono, telle la magicienne ayant disparut dans la noirceur. Rouvrant ses paupières, laissant découvrir un regard sévère et imposant, glaciale et distant, lentement l’image ce fit plus précise… Demoiselle aux paupières maquillés de bleutés poudreux, regard d’émeraude, une chevelure étrangement bleue, une fleur blanche trônant sur ces cheveux, un teint aussi délicat que nocturne soit-il, d’une voix sombre et marmoréenne, la ninja prit la parole d’un ton sévère et implicite…

« Marlene, j’attend de toi des informations à présent. As-tu récemment croisé Aerith Gainsborough ? »

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Marlène regarda Ayame stupéfaite. Elle était très étonner de voir un espèce d'hologramme aussi performer. Elle la regarda deux petites secondes ébouit avant de se rendre compte que... Kami était partie sans elle. Elle tourna son visage de tout les sens en murmurant " Kami, revient s'il te plaît. Me laisse pas seule... je tant pris ''. Puis Ayame pris la parole. Elle resta émerveiller part la question. La dernière fois qu'elle avait vue Aerith ? Elle l'avait vu plus tôt dans la journée, mais devait-elle le lui dire à cette dame ? Après tout elle ne la connaissait pas, et peut-être elle était uene vilaine qui voulait tuer Aerith... de nouveau ? Ou peut-être qu'au contraire, elle était très gentille et que Marlene la jugeait part son apparence holographique ? Marlene regarda attentivement la demoiselle devant elle. Elle prit la chance. Après tout, s'était sans doute une gentille qui voulait la protégé.

- J'ai vue... j'ai vue Aerith plus tôt dans la journée Dame Glaciale. Elle était au bar du Septième Ciel. Nous discutions avec mon ami Denzel et Tifa Lockheart. Mais Denzel n'est pas le fils de Tifa, mais je crois que bientôt Denzel irait vivre avec elle. Dis Dame Glaciale, pourquoi voulez-vous savoir ou se trouve Aerith ?

Elle trouvait suspect qu'on lui pose une tel question. Surtout que tout le monde était au courrant du retour de la chérubine. Fallait être d'une totale autre espèce pour ne pas le savoir. Marlene regarda la jeune femme. Cette femme si belle, mais au regard si froid et si glaciale qu'elle terrorisait la jeune Marlene. La petite fille regarda la Dame attentivement et longuement. Elle avait légèrement... beaucoup peur. Elle ne voulait pas mourir... pas si jeune tout de même. Marlene baissa son regard et murmura.

- Dame Glaciale, allez-vous me tuer ?

Bah... quoi ? Elle préférait être au courrant si jamais quelqu'un avait décider de la tuer. Marlene joint ses mains ensemble, tortillant c'est doigts pour oublier le stresse qu'elle avait. Marly se mit à se balancer d'avant en arrière. Silencieuse. Elle avait vraiment peur. Elle leva quelques fois sont regard vers Ayame, chaque fois son regard était remplit de peur. Au fond, elle avait peur pour rien car un hologramme ne pouvait pas faire de mal à un être en chair et en os. Mais ça, Marlene ne le savait pas, donc elle était persuader qu'elle allait bientôt mourir. Elle décida donc de parler.

- Dame Glaciale, quel est votre nom ?

Elle se disait que si jamais elle parlait, elle pourrait faire diversion et ainsi Ayame ne penserait plus à la tuer. Elle marmonna des mots inconpréhensible, et ce même pour Marlène. Elle disait des mots qui n'avait pas de sens, simplement pour penser à autre chose. Marlene eu un rire nerveux.