°o.{O}.o° Uchiwa Itachi °o.{O}.o°

Présentation Personnelle

Présentation du Personnage

> Les techniques :
Trois techniques à définir comme suit :

Technique1 : Description de la technique
Technique2 : Description de la technique
Technique3 : Description de la technique

> La limite :
L’attaque la plus puissante de votre personnage, elle ne s'active que lorsque la vitalité de ce dernier passe sous les 25% :

Nom de la limite : Effets

> Apparence Physique : Les voilages noirâtres fats et alanguis trépident tel un linceul de funestes augures, en cette insolite pèlerine errent les courbes vermeils de vapeurs, ésotérisme de l’Organisation. Parfois, le col s'entrouvre capricieusement et les lippes rosâtres s'éludent. Les fines phalanges effilées s’achèvent en leurs pointes par le vernis pourprin propre aux membres de la Lune Rouge. Vient sa silhouette, nébuleuse enivrante de laquelle s’exhale l’embrun de la funeste destinée … Lorsque l’étoffe chute, ce n’est que pour dévoiler l’atour humble du Maudit, fuligineux et sèchement couturé. Ses gestes amples demeurent à l’image de son esprit, sereins et acerbes, lents et indicibles … Oxymore que cet homme se complait à épandre en son sillage incertain. Le plus flagrant en ce blason … Son visage. Vain de toute de émotion. Un tracé mirliflore au ciselé inégalé moule les courbes étiolées d’une vénusté de jadis, altérée par l’austérité d’une outrecuidance démesurée. Ses iris obsidiennes, astres livides et miroitantes d’un feu assoupi, se nichent dans le giron enténébré des Abysses matricielles … Et lorsqu’elles luisent d’un éclat incarnat, les pupilles assassines se parent de toute la froideur d’un homme avivé par l’implacabilité du fatum. Le Sharingan … Art et faux de la Camarde. Filins brunâtres balayent un front intelligent, bardé des sillons amers de l’âcreté. Ces fils de soie coulent ainsi le long de l’étoffe allusionnelle, enrubannés d’une lanière mégissée. Un nez droit fignole le finaud faciès d’Itachi et ses lèvres tréfilées se pincent en un rictus suffisant. Sa voix suave ne distille qu’une liqueur miellée, blasant le souffle éthéré de ses soupirs las.

> Apparence Psychologique : Nulle expression ne semble troubler ce visage inaltéré, seule une coite moue de plaisance ombrage ses fins sillons aiguisés de sévérité. Créature de froideur et opiniâtres en ses âpres palabres, ses lèvres ne s’entrouvrent que lorsqu’il s’avère nécessaire pour lui de s’exprimer. Peu loquace, et pourtant un charisme nimbe sa superbe, délaissant ses pairs en un mutisme résigné. Nul ne peut se vanter de cerner un esprit si enclavé, un Eden inavoué, érigé tel un écrin abstrus en des parois insolubles. Lettres enluminées d’un carillon véridique, ses sagaces paroles n’évoquent qu’un moi enchâssé d’orgueil si bien que son cœur se pare d’une désarmante vanité. Peu d’hommes en cette terre s’avèrent dignes de la confiance d’un Uchiwa, bien moins en l’occurrence peuvent s’enhardir d’être anoblis de la bénignité d’Itachi. Sa loyauté à l’égard de la Lune Rouge demeure infaillible, et bien que son âme versatile cède parfois au caprice d’éployer son intarissable aleph, il n’ira point vilipender les membres de la toute puissante Organisation. Reclus, la solitude lui sied et jamais cet homme ne s’entichera que quelques inclinaisons amicales. Parfois, ses palabres résonnent de sarcasmes et le cynisme suinte fatalement d’entre ses lippes écloses, fusant tel un rais délétère vers le fruit de ses turpitudes.

> L’histoire de votre personnage : Un passé que l’on préfère oublier … Vélin noirci de lettrines délaissé dans le mémorial des êtres méprisés. Itachi fut l’un de ces hommes adulés, que l’on respectait tout autant qu’un protocole rongés de lois indéfinissables.

Wutai … Ménil typique, paisible et gorgé de fables pittoresques qui s’édifiait depuis des siècles sur l’étroit Continent de l’Est. Les jupons de Gaia bénissaient cette terre verdoyante depuis les temps immémoriaux, l’occultant aux yeux des autres contrées. Un village où les Ninjas naissent et succombent au sommeil éternel … Populace fière et imbue de ses traditions, les habitants s’enorgueillissaient de leurs dons lors de joutes grandiloquentes. La famille Uchiwa peignait depuis des générations les portraits d’hommes exceptionnellement doués, Itachi plus encore que tous les êtres nés depuis la genèse du monde. Un clan à l’honneur auréolé, immaculé de toute effronterie. Un blason maudit dont le sceaux si vit scellé par celui dont les regards suspicieux fuient le sillage.

Une matinée estivale, quel mièvre tableau pour une naissance tant espérée. Le Clan du Sharingan festoie l’éclosion d’une vie en leur sein, un souffle chargé de mille espoirs régnait entre les murs protecteurs de la maisonnée Uchiwa. Doublement récompensée, la famille accueillait un garçon, ravissant pères, mères, frères et sœurs. Tous acclamaient en cette heure le premier héritier du Clan. Sa mère le couva de tendres palabres et le nom d’Itachi lui fut apposé. Son destin se mit en marche alors que l’ultime syllabe de cette onction expirait sur les lèvres de la Matrone.
Le Bambin grandissait, aimé et choyé bien qu’il subît l’opiniâtre enseignement de son sévère géniteur. Le Clan Uchiwa développait un don exceptionnel, le Sharingan. Il octroyait l’art de cerner l’avenir. Plus trivialement, cet arcane allouait à son porteur la capacité de visualiser les actes d’un adversaire et d’imiter ses assauts. Itachi se révélait matois et intelligent, et devançait de loin les enfants de son âge, voire même certains adultes du Clan. Son génie lui permit de maîtriser le fameux Sharingan alors qu’il n’était encore qu’un jeune garçon, fait rarissime dans toute l’histoire de la lignée Uchiwa. Ses capacités ébaudissaient chacun des membres de la maisonnée, tous louaient le jeune prodige qu’il était désormais.

Un jeune frère vint agrandir la famille Uchiwa, de quatre ans le cadet d’Itachi. Leur relation n’était pas toujours aisée en dépit du lien fraternel qui les unissait. L’un se sentait inférieur à l’autre, n’arrivant point à égaler le talent de son aîné. Et pourtant, en leur cœur, l’amitié tissait les filins d’une confiance mutuelle. Itachi s’entraînait souvent sous le regard émerveillé et jaloux de son frère, ce dernier le suppliant de l’aider et ne récoltant qu’en réponse une pichenette badine.

Entre temps, la Guerre de Wutai fit rage, opposant cette contrée paisible à l’hargneuse firme tant méprisée, la Shinra. Itachi n’avait alors que neuf ans, et déjà, son prodige lui valait le respect et les flagorneries de ses pairs. Lors de cette bataille, ses qualités de shinobi furent sollicitées et au grand dam de sa mère, son père l’entraîna au front à ses côtés. Quelle aventure pour un bambin de cet âge ! Il serpentait le long du champ du bellicisme, infligeant mort et accablement avec matoiserie, mille fois maudit par ses ennemis. Nombres de combattants valeureux fut débusqués de cette terre à la vie drainée par la fielleuse cité à l’apostolat despotique. Et malgré les prouesses de l’enfant Uchiwa, la défaite fut assénée à Wutai. Durant cette guerre, ses qualités de combattant ne passèrent point inaperçues aux yeux de certains Ninjas … Néanmoins, sans doute valait mieux t-il qu’il mûrît avant de faire appel à son génie.
Son enfance de même que son adolescence se poursuivit non sans que lui soit infligé le sinistre souvenir de ces années passées sous le joug de la Firme. Itachi perfectionnait ses techniques, atteignant un niveau nul n’aurait ambitionné d’atteindre jusqu’ici. Vint à ses oreilles juvéniles de vagues rumeurs concernant un homme … Un être tout aussi doué que lui, surpassant tous les officiers du monde de Gaia. Une créature se hissant au sommet des espérances de toute une nation. Et quelque part, cet homme lui ressemblait de part son mental et ses aptitudes mirobolantes au combat. Une finalité s’esquissait alors en ses pensées élusives … Acquérir plus de puissance encore afin de pouvoir faire fléchir cet homme.

Nul ne pouvait prédire alors ce qui allait inéluctablement se produire … La déchéance du clan. Il suffit d’une nuitée pour la mort s’éperdît en les venelles obombrées du Clan Uchiwa. Mué d’une envie capricieuse et fiévreuse, le Prodige devenu Homme, fit couler le vermeil de ses pairs … De sa famille. Se délectant du bruissement feutré d’un éclat argentin écorchant les chairs, il ruina capricieusement les espoirs d’une mère, la fierté d’un père et l’admiration d’un jeune frère. Dans les ténèbres, la mort fut semée, dans ces mêmes ténèbres, une légende s’étiola. Itachi devint le Maudit. Celui que l’on méprisait à force de le craindre sans répit, effroyable frustration que les bouches frémissantes des ancêtres intimaient aux jeunes gens de Wutai. Cette histoire vint aux oreilles d’un homme … Ce même homme qui vit combattre le jeune Itachi lors de la Guerre de Wutai. Il jugea que le temps était venu de le rallier à sa cause … Nul ne sut quelles motivations animaient le cœur d’Itachi. Malgré tout, il joignit les rangs de l’organisation connue sous le nom d’Akatsuki … La Lune Rouge, en compagnie d’un être insolite, Kisame. Qui peut prédire l’insaisissable ? Itachi n’est point un homme que l’on soumet … Sa confiance se mérite et jamais son cœur ne sera dévoilé. Un mythe persiste cependant, celui d'un homme aux prouesses jalousées et admirées dont l'histoire s'orchestre dans l'intimité des ténèbres.

> Le Test Rp :

Dilucule lustrale que nul ne saurait frelater, pas même la Main Divine qui en ces éphémères laps de temps scandait les simulacres allusionnels sifflotés d’entre les lippes éthéréennes des blandices astéries. Les pans filandreux des levantines obombrées éperdaient l’hâve nitescence qu’un lambrequin céleste tréfilait mollement au-delà des hauteurs ineffables, frêle chevelure sélénite de la Déesse aux iris perlées. Face livide ! Morne disque diaphane cinglant de sa chaloupe clopinante, disque éburné des rivages constellés s’éberluant des velléités insanes du Maudit en son errance de misanthrope.
L’Être arpentait la lande frémissante d’une houle chevrotante, l’algide risée baisait ses pommettes affadies tandis que les soieries de jais flottaient avec dédain, éventant à chacune de ses lambines foulées les poussières effarouchées.

Eparses fils vernissés, Zéphyr chahutait la chevelure folâtre, le minois épanché et lorgnant les prunelles amères de l’Ermite, dérobant à son ouïe moqueuse les vulgaires et mièvres notes pianotées par la Nature assoupie. Uchiwa … ? Psyché de l’âtre spirituel, miroitant en ses iris spectraux, dont le brasillement babillard assombrissait l’éclat déjà si insipide et reflétait que de labiles souvenirs.
Les orbes de la Lune vinrent mirer la lame fatalement effilée qui claquait en une pudique chatterie la pelisse clairsemée de nuées andrinoples. Baignée en cette alcôve enluminée, la silhouette vaporeuse s’éludait en une fallacieuse rêverie, comme si le monde alentour n’offrait nulle importance à ses œillades blasées. Ses pensées stridulaient tel un flot intarissable de quêtes, de bénignités avares et de vénales ambitions que nul homme sur terre ne pouvait concevoir en sa misérable trivialité.

Ses lippes ne feignaient point de se mouvoir tant le mutisme lui seyait à merveille, enclavant cette funeste vénusté en des traits tréfilés, si blandices dans leur superbe rubanée d’un rictus tout à la fois affable et fielleux. Qui s’enhardissait de cerner les sinueux concetto de l’Errant ? Nulle créature. Seul cet Homme … Pein avait su piquer cette gloriole, prophétisant des souhaits jusqu’alors latents en son moi profond, Itachi perçut les pétales exquis d’un avenir tel qu’il l’érigeait lui-même.

« Il y a autre chose … »

Certes … Il résidait tant de choses dénuées de réponses. Tant de choses enfouies, occultées aux yeux de tous et assoupies, n’espérant en leur sein qu’un baiser du Léthé. Tant de choses, vestiges de la chimérique Mnémosynée, crevant de râles aliénés les pourtours nébuleux de ses desseins.
Certes … Il y avait autre chose. Ce désir d’anéantir quiconque se dressant sur son chemin. D’annihiler perfidement les breloques pitoyables d’une existence d’erratique. Cette soif d'embrasser la toile de sa destinée, de la façonner à sa guise sans qu'elle ne cédât entre ses phalanges vernissées. La menotte pirouettait sous ses iris cinabres jusqu'à ce qu'elles fusassent vers l'étole mordorée ceignant son index, jalouses d’un camée rubicond, symbole de son allégeance à la Lune Rouge. Itachi, de ses foulures alcyoniennes, glissait vers l'Antre de l'obscurantisme, se révélant inéluctablement à l'oeillade bilieuse de la Dame sélénienne. L'Akatsuki lui offrait un asile prometteur d'un avenir grandiloquent. Hélas ... Savait-il qu'il lui fallait encore dissiper les sillons de son visage ... Masque valsant, enjôlant les lambeaux méandreux d'une vivace volition inaltérable.