Hikari

Neutre / Jouvencelle de Lumière Messages : 11 Date d'inscription : 04/08/2007

Présentation Personnelle

> Prénom : Trisha
> Âge : 14 ans
> Ville : Montréal, Québec
> Hobbies : Lecture, Manga, Jeux Vidéos, Principalement le ===> PC
> Comment avez-vous découvert le forum ? : J'y suis depuis ses débuts
> Comment trouvez-vous le desing ? : Splendide, beau travail Pein Wink

> Autres : Mon double compte est Ayame

Présentation du Personnage

> Nom : Inconnu
> Prénom : Hikari
> Âge : 24 ans
> Sexe : Féminin
> Alignement : Neutre
> De quel monde votre personnage vient ? : FF10, mais débute à FF7

> Classe de votre personnage : Mage Blanc

> Arme du personnage : Bâton
> Protection du personnage : Aucune

> Les Statistiques :
Répartir 100 points dans :

Vitalité : 12x20=240
Spiritualité : 30x5=150
Force : 8
Constitution : 10
Magie : 20
Esprit : 20

> Les techniques :
Trois techniques à définir comme suit :

Poudre de fée > Récup général
Vibra > Technique déplaçant les atomes de l'air pour créer des vibrations de plus ou moins grande puissance pouvant aller jusqu'à la création d'une onde de choc. La technique peut se résumer à de simple vibrations ne causant aucun dégâts et coutant 1MP comme créer des séismes [magX2, 5mp], ou des ondes de choc [AttX2, 5MP]

> La limite :
L’attaque la plus puissante de votre personnage, elle ne s'active que lorsque la vitalité de ce dernier passe sous les 25% :

Benediction > Permet de restaurer tout le monde de la vitalité du mage blanc

Hikari Hikariqq8

> Apparence Physique : Somptueuse chérubine, délicate fée, beauté enivrante. Tous ses termes donnant le songe d’une fallacieuse princesse sont de délicats termes qu’Hikari entend souvent lorsque ses admirateurs prononcent son prénom ou parle d’elle. Cela n’est cependant pas une surprise, car la douce demoiselle possède le physique d’une femme que l’on pourrait qualifier de déesse. Elle inspire bien la signification de son prénom, qui, sous traduction, signifie « Lumière ». Hikari, propres à son titre de mage blanche, arbore une longue et douce chevelure d’un blond inspirant l’or. Ces même cheveux sont d’une longueur indécente, arrivant jusqu’au niveau de ses genoux. Une sorte de couronne orne sa tête, d’une brillance dorée, retient les mèches mielleuses pour ne pas tomber devant ses yeux d’un bleu mystique. La délicate jouvencelle n’est aussi fragile qu’est l’apparence de son corps. Ce dernier est généreusement donné de quasi partout, de jolies hanches bien courber et découper avec finesse, une poitrine d’une ampleur acceptable et aucune imperfection voir quasi parfaite. La peau de notre belle Hikari est d’une douceur impeccable et invitante, d’une blancheur ni trop pâle, ni trop foncé, un teint avec une pincée de pêche. Sa délicate peau est recouverte par un tissu beige quasiment blanc que l’on pourrait qualifier de robe. Cette dernière fait d’ailleurs étrangement pensé aux robes portés dans les temps de la Grèce, ce qui lui donne encore plus davantage l’air d’une somptueuse déesse de lumière. Le haut est un tantinet décolleté, cachant sa poitrine en entier, concernant cependant une vue que certains hommes pourraient appréciés… Cette même robe est sans manche, seulement deux bretelles de tissus attachés avec des fils d’or qui retombent sur ses épaules. Une ceinture tissée de fils dorés ornes sa taille, avant de laisser s’échapper un fin tissu blanc, quasiment transparent. D’ailleurs, si l’on est fin observateur, l’on peut apercevoir le ventre d’Hikari au travers le vêtement. Ce dernier redevient cependant plus foncé lorsqu’il atteint la seconde ceinture doré entourant ses hanches, laissant tomber le reste de la robe qui descend jusqu’à ses chevilles. Ses pieds sont chaussés de bottes blanches possédant un petit talon relevé permettant une aisance pour courir. Ses bras ne sont couverts que de manches coupé qui retombe comme des voiles féériques le long de son corps…

> Apparence Psychologique : Hikari… un prénom possédant une signification digne du tempérament de la jolie jeune jouvencelle. Il s’agit là d’une femme inspirant la confiance et une gentillesse d’une pureté dérangeante dirait-on. Sa simple aura est d’une délicatesse omniprésence qui semble enchanter et calmer tout être vivant croisant ce regard bleuté si apaisant. C’est une enchanteresse demoiselle d’une simplicité remarquable, ne songeant qu’aux autres avant elle-même. Elle n’hésitera jamais à venir en aide à une personne dans le besoin, et ce peu importe de qui il s’agit. C’est une femme munis d’une compréhension hors du commun, d’une générosité rêveuse et d’une douceur présente dans tous ses faits et gestes. Hikari n’est point une personne qui serait capable d’haussé la voix envers quelqu’un, elle déteste les disputes et désire l’ordre dans un groupe. Les chamailleries répétées et les querelles à n’en plus finir irritent la jeune femme qui garde cependant un calme olympien déstabilisant. Notre belle demoiselle est quelqu’un remplit de tendresse qui possède énormément d’amour à donner. Ces croyances sont plutôt saugrenus direz-vous. Cependant, Hikari ne cesse de croire en plusieurs choses qui peuvent paraitre bien étrange aux yeux des autres. Pour elle, il y a d’une clarté dans les ténèbres, et une ombre dans la lumière. En bref, selon elle, tout être vivant se respectant en tant que personne faisant partie de ce monde possède un cœur et est apte de ressentir des émotions aussi fortes que l’amour ou l’amitié. Tous démons possèdent des ailes, tous anges possèdent des cornes. Même notre belle Hikari possède des défauts malgré son visage d’ange. Son air angélique peut se détourner et démontré les petits mauvais coter de la dame. Elle est une demoiselle qui possède une sensibilité grandiose, et elle a très facilement pitié des gens blessés, en peine ou réclamant de l’aide. Hikari n’est certes pas le genre de personne à laisser tomber un but qu’elle s’est fixée, car lorsqu’elle dit une parole, elle la tient et ce jusqu’à ce que l’oublie obligatoire la forcera à oublier cette parole. Lorsqu’elle donne sa parole, c’est pour toujours, et ce, jamais elle ne revient sur ses mots, sauf sous d’extrêmement rares exceptions. C’est également une grande rêveuse qui rêve d’un jour trouver l’homme qui saura comblée son cœur et ses besoins. Elle ne le démontre peut-être pas, mais Hikari recherche, en fait, quelqu’un à qui elle pourrait apprendre… l’affection dont elle sait si bien faire preuve…

Neutre / Jouvencelle de Lumière Messages : 11 Date d'inscription : 04/08/2007

L'Histoire de votre personnage > Hikari vit le jour dans le paisible village de Besaid, sur Spira. La jouvencelle inspira immédiatement une beauté enivrante lorsque sa mère posa ses yeux pétillant de fierté sur sa petite fille. Selon son père, Hikari fut nommé ainsi car elle fut le petit rayon de lumière de sa famille, l’espoir naissant d’une seconde génération pour faire perduré cette lignée de mage noir. Ils semblaient tous si fière de voir enfin leur espoir venir au monde qu’ils ne se rendirent pas compte que cette naissance allait changer tout le cour de leur si somptueuse lignée. Besaid était un petit village isolé, porté hors de danger des guerres et des monstres. Il y en avait certes quelques uns, mais ce n’était que des petits ennemis vagabondant autour du village, sans pour autant y entré. Le temple trônait au beau milieu du village entouré de petites maisons sous forme de tente, et un énorme cercle se dessinait au centre du village. Une forêt jonchait Besaid, ainsi qu’une magnifique plage où se tenait le quai pour prendre le bateau vers Kilika. Cependant, dans sa jeunesse, Hikari ne sortit pas du village de Besaid. Elle fut toujours conserver chaudement dans les bras de sa famille qui, eux, ne voulait que lui apprendre les arts de la magie noire. Par contre, Hikari ne semblait pas réceptive à ce genre d’apprentissage. Ce fut donc sa sœur, Kurai, qui tenta de la raisonner et lui expliquer que leur famille fut une grande lignée de mage noir et que cette génération ne pouvait s’éteindre parce qu’une seule magicienne refusait d’en apprendre les arts. Hikari était aussi différente physiquement que psychologiquement des autres membres de son illustre famille. La jeune enfant portait les cheveux dorés, des yeux bleus éclatant, une peau très pâle, des lèvres rosées. Cependant, tout les membres de sa famille possédait une crinière noire encre de jet, des yeux sombres voir rouges, une peau foncée. Sa mère en vint même à douter que sa fille serait capable d’un jour faire de la magie comme eux. Cependant, l’aînée des deux sœurs, Kurai, semblait croire en sa sœur et ne voulait pas l’abandonner, contrairement à ses parents qui, depuis les cinq ans d’Hikari, s’éloignait lentement d’elle, puisqu’elle ne connaissait même pas un sort encore. Ou plutôt refusait de l’apprendre, certes. Car avouons-le, Hikari n’aimait pas ce qui était sombre, tout ce qui entourait les ténèbres ou même les touchaient. C’était une petite fille si gentille, si amicale et aimable, qu’il était difficile de l’imaginer jeter un sort brûlant sur une création quelconque.

Lorsque ses grands parents et la sœur de sa mère apprit la nouvelle, ils en furent tous quasi insulter. La petite jouvencelle si prometteuse de devenir une puissante mage noire refusait même d’apprendre un minime sort tel que Brasier par exemple. Hikari disait toujours, de sa voix inspirant le calme et la douceur, qu’elle voulait aider les autres. Elle ne voulait pas faire de mal. Mais le fait de faire usage de magie noire était supposé faire mal justement. Les espoirs de ses parents s’évanouissaient lentement sous le regard angélique de leur fille, et sous les airs enténébrés de Kurai. Car cette dernière était bien plus cruelle que prévue. Cependant, elle faisait attention à sa sœur comme si elle aurait été une si délicate fleur que l’on viendrait de cueillir. Kurai prenait soin d’Hikari, et ce même si elles étaient complètement à l’opposé psychologiquement parlant. Cela pouvait certes paraitre saugrenu, mais Kurai adorait voir admirait sa petite sœur d’osé confronter les traditions des mages noires qui furent instaurées depuis des lunes. Par contre, alors qu’elle apprenait lentement, très lentement, que sa sœur ne comptait pas suivre la lignée, Kurai craignit le pire. Hikari voulait donc devenir autre chose qu’une mage noire ? La famille ne voulut pas croire cela, mais le pire n’était pas encore survenu. Le pire viendrait quand la jeune enfant atteindra ses treize ans.

Un beau matin, comme tous les matins d’ailleurs, Hikari s’était réveillée en premier. Elle décida de calmement aller se promener sur la plage de Besaid, et là la jeune magicienne novice décida d’aller prendre place près de l’eau qui, doucement, vaguait au rythme du vent. Sa longue chevelure d’un blond mielleux dansait également avec la brise, créant une valse d’un délicat mouvement. Hikari ferma ses yeux, se concentrant surtout sur le vent qui frôlait à présent sa peau. La jouvencelle dorée décida alors de s’approcher de la mer, et d’y laisser lentement tremper l’extrémité de son index. Une sorte de vibration de créa alors. Autour de son index se formait peu à peu des petites vagues, comme si elle-même contrôlait leur vibration. C’est depuis ce jour d’ailleurs qu’Hikari sait comment contrôler les vibrations de l’air l’entourant. Elle ne se fit pas prier pour faire part de se nouveau pouvoir a sa famille. Cependant sa mère qualifia ce sort « d’interdit » au sein de leur lignée magique, et repoussa instantanément Hikari. Contrairement à sa sœur qui accroissait ses connaissances en sort élémentaire, Hikari voulait confronter sa mère et lui prouver que la magie blanche était tout autre. En cachette, elle s’entraina donc à créé des sorts tel que soin, prière, ou un de son cru ; Poudre de Fée. Il s’agissait là d’une technique qui pouvait soigner les blessures au fur et à mesure, petit à petit. Fière de sa création, elle voulu de nouveau le montré à son paternel, mais ce dernier la dénigra comme le fit sa mère. Hikari du donc grandir avec le courage d’une adolescente rejetée par ses pouvoirs différents des autres…

Cependant Kurai était toujours avec elle. La ténébreuse jeune femme maintenant d’une vingtaine d’année n’acceptait pas le jugement que posaient ses parents sur sa jeune sœur, mais elle n’avait pas bien le choix. Lorsque sa sœur atteint ses vingt ans, Hikari n’était plus qu’une mage blanche contrastant ave le reste de sa famille. Et alors que les vasques de téléportations venaient d’être créées, Hikari prit la décision de quitter Spira… Cependant, sa sœur voulu l’en empêcher. La réplique d’Hikari fut cependant convaincante. « Ma famille me rejeté parce que je refuse de suivre cette lignée. Je ne désire point faire de mal. Je ne veux qu’aider, et devenir mage noire n’aidera pas à atteindre mon but… » Sur ces mots elle laissa sa sœur en plant avant de partir pour Luca, là où se trouvait une des vasques de téléportations de Spira. Hikari aboutit dans le monde de Gaia. Inconnu, quoi que fascinant. Elle y est depuis maintenant quatre longues années, et en connait beaucoup sur ce monde. Cependant, les premiers jours ne furent qu’errance pour elle. C’est lorsqu’elle fut près de Midgar qu’elle remarqua une splendide église cependant quelques peu troués dans le plafond. Elle risqua d’y entré, et y découvrit un champ de fleurs. Des fleurs dans une église ? Ce monde était étrange, mais Hikari ne voulait pas retourner sur Spira. D’ailleurs, cet endroit était d’une beauté telle qu’elle y revint tout les jours, s’occupant de ces fleurs si délicates… et encore aujourd’hui…

Neutre / Jouvencelle de Lumière Messages : 11 Date d'inscription : 04/08/2007

Test Rp >

« Pourquoi souris-tu ? »

Deux jeunes femmes étaient assises sur le sol, dos à dos. Les deux semblaient se contrastés, l’une étant vêtue de blanc et arborant une chevelure doré, l’autre habiller de noir portant les cheveux longs et noirs. La première inspirait une douceur infinie, ainsi qu’un doux sourire dérivant sur son visage pâle et calme. L’autre possédait une mine enténébré, triste peut-être. Cependant un faible sourire était dessiné sur les lèvres noires de la chérubine de l’ombre. Sourire qui n’avait point vu le jour depuis des années. La badine de la lumière n’avait jamais vu l’ombre d’un rictus sur les lèvres pulpeuses de sa sœur bien-aimée. Cependant, alors qu’elles étaient dos contre dos, les jambes repliées vers leur poitrine respective, siégeant sur une plaine de fleur blanche par ci, rosée par là, le vent caressant leur doux visage enchanteur, Kurai avait sourit. Comment Hikari pouvait le savoir si elle était de dos à sa sœur ? Elle-même ne le comprenait pas. Cependant, elle ressentait un soudain contentement chez Kurai, comme si un sourire venait d’agrémenté le village de la belle ténébreuse. Justement, en entendant la question précipité quoi que saugrenu de sa sœur cadette qui ne l’avait même pas regardé pour constater ses affirmations, Kurai releva la tête. Elle soupira alors, avant de négativement secouer la tête.

« Je ne souris pas… »

Un petit rire se fit alors entendre. Hikari pouvait ressentir une sorte d’émotion de contentement chez sa sœur, comme si elle était heureuse du moment privilégié qu’elle avait en ce moment avec la seule mage blanche de leur famille. En entendant le rire de sa sœur cadette, Kurai afficha une mine questionné, ce sourire mystique toujours présent sur son visage pâle comme la mort. Pourquoi Hikari venait de rire exactement ? Elle ne tarderait pas à le savoir, car la mage blanche s’enquit d’ajouter un commentaire.

« Alors pourquoi est-ce que je peux ressentir un certain bonheur en toi ? »
« … »
« J’ai toujours cru que tu n’étais qu’une ombre, Kurai. Mais aujourd’hui, j’ai la preuve de par ce sourire qu’en ton cœur réside une lumière cachée. »

Kurai baissa alors la tête d’un air attristé. Une lumière en l’ombre. Une ombre en la lumière. C’était la philosophie de sa sœur cadette. Hikari laissa alors vagabondé une de ses mains blanches sur les fleurs parsemant le sol sous les deux jouvencelles. Elle vint en cueillir une, l’observant avec délicatesse. Les pétales blanches de ses fleurs possédaient une douceur mystique qui fascinait la mage blanche. Kurai releva alors lentement la tête.

« Possèdes-tu toi aussi de l’ombre en ton cœur, Hikari ? »
« Comme tout être vivant, je possède en mon cœur une parcelle différente de celle que je me connais. »

Cette phrase fit sourire la chérubine de l’ombre. Hikari ressentit ce sourire que fit sa sœur, ce qui la fit sourire à son tour. Kurai poussa alors un profond soupir triste, cependant Hikari conservait son sourire mignard, d’une tendresse infinie, alors qu’elle levait les yeux. Cet endroit était mystique, comme impossible à trouver dans ce monde. Une large plaine s’étendant à n’en plus finir, des fleurs à perte de vu, un ciel d’un bleu clair, et un arbre. Un seul. Un arbre énorme, qui était la seule source d’ombre qui couvrait les deux demoiselles assises dos à dos. Ce ciel semblait d’une magnificence imaginaire. Cependant, cette vision faisait sourire la demoiselle de lumière. Le regard d’Hikari s’attrista alors, cependant le sourire restait sur ses fines lèvres. Ce fut par contre Kurai qui prit la parole en premier, d’une voix monotone.

« Hikari, allons-nous nous revoir un jour ? »
« Nous sommes ensembles, non ? »
« Non Hikari… Ce n’est qu’un rêve… »

Curieuse, Hikari voulut finalement se retourner. Mais ce faut mouvement la fit tomber dans le noir le plus total, puis un néant blanc… puis plus rien… Lorsqu’elle rouvrit les yeux, la demoiselle était étendue dans un champ de fleurs blanches. Leur douceur lui rappela immédiatement celles de son rêve. Lentement Hikari se redressa à l’aide de ses bras, mais elle ne vit Kurai nulle part. La jouvencelle se souvint alors qu’elle s’était endormit par inadvertance dans l’église qu’elle avait découvert quatre ans plus tôt. C’était d’ailleurs le plus beau lieu de Midgar encore debout et d’une magnificence éclatante grâce aux fleurs y résidant. Assise au beau milieu de ce même champ, Hikari baissa tristement la tête, avant de soupirer et arborer un sourire.

« Comment allez-vous, petites fleurs ? »

Lentement elle se redressa, et d’un pas lent, fit le tour du champ en arborant un petit sourire simplet, calme et doux. Après un petit tour rapide, Hikari observa les alentours avant de prendre siège sur un des divers morceaux de l’église qui était en ruines. Elle garda son regard porté sur les douces fleurs, comme si elles étaient des amies ou des enfants sur lesquelles ils fallait garder un œil…

J'aime beaucoup ce personnage car il est le symbole d'un thème fort de Final Fantasy IV : Personne n'est parfait, même l'être le plus lumineux a de l'ombre en lui. J'offre donc un OUI enthousiaste, Enjoy avec ce second personnage ! Wink

Présentation sublime !

Je n'ai rien à redire dessus mis à part que j'adore le post RP. Il est tout simplement génial et mérite une ovation ! ^^

Présentation validée bien sûr !

Héros de la Lumière Messages : 9 Date d'inscription : 04/08/2007

Alors la....Chapeau bas !!!!

Rien à redire sur cette présentation si ce n'est quelques applaudissements !!!!

Comme je fais Hikari et que la flemme de changer de compte vien de me prendre ... ^^

Merci chers collègues, et merci beaucoup Tidus ^^

Fiche terminée : Le lien

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