Ayame

Présentation Personnelle

> Prénom : Trisha
> Âge : 14 ans
> Ville : Montréal, Québec
> Hobbies : GEEK =D Lire. Jeux Vidéos. Fantasmer sur Genesis… Oui oui. Hum… Massacré les pitis boulets, et martyrisé les nouveaux. =D
> Comment avez-vous découvert le forum ? : Je suis dans l’équipe fondatrice !
> Comment trouvez-vous le desing ? : On dit qu’il ne faut pas juger son propre travail, mais je tien à dire que les mini bann de Pein sont splendides ! ^^
> Autres : Mon équipier pense que je n'ai pas vu sa remarque dans ce même champ... Perdu, cher collègue ! ^^

Présentation du Personnage

> Nom : Inconnu
> Prénom : Ayame
> Âge : 24 ans
> Sexe : Féminin
> Alignement : Akatsuki
> De quel monde votre personnage vient ? : Final Fantasy 7

> Classe de votre personnage : Ninja
> Arme de votre personnage : Aucune
> Protection : Bague de l’Akatsuki

> Les Statistiques : Répartir 100 points dans :

Vitalité : 30X20 = 600Hp
Spiritualité : 20X5 = 100Mp
Force : 13
Constitution : 10
Magie : 17
Esprit : 10

> Les techniques : Trois techniques à définir comme suit :

Hana no Jutsu : Un champ fleuri apparaît et restaure quelques HP de tous les alliés en plus de les camoufler.
Narakumi no Jutsu : L’adversaire voit son pire cauchemar devant ses yeux pouvant le rendre fou.
Kaze no Yaiba : Ayame créé une lame de vent avec ses doigts. Elle ne sert qu’un coup, mais ne peut être bloqué.

> La limite : L’attaque la plus puissante de votre personnage :

Ninpô, Destruction des Cinq Sens ; L'adversaire perd l'usage de ses cinq sens un à un du moins importants au plus importants, le dernier étant fatal > six tours

Ayame Ayamevz8

> Apparence Physique : Ayame… Un prénom qui n’inspire que beauté et simplicité sans doute. Effectivement, notre belle ninja n’est point quelqu’un d’hideux malgré son statue de vilaine membre de l’Akatsuki. La ninja n’est pas plus grande que Pein, évidemment. Lorsqu’elle se trouve à son niveau, elle lui arrive approximativement aux épaules, il possède donc une tête de plus qu’elle. C’est une dame qui parait bien dans son âge, et d’ailleurs, quelque fois elle peu sembler plus jeune que vingt-quatre ans. La somptueuse kunoichi arbore une fleur, une rose blanche, loin d’être empreint de discrétion, qui est délicatement posée sur sa chevelure d’un bleu foncé, ce qui créé un contraste apparent. Cette même chevelure est remontée en chignon derrière sa tête, l’empêchant de ce fait d’être dérangé par d’indiscrètes mèches bleues lors des combats. Elle ne les détache que très rarement, sans doute par habitude. Une frange bleue cache cependant son œil droit, même si elle repousse souvent cette même frange d’un geste rapide de la main. Son regard est cependant bien moins hypnotisant que celui de son coéquipier, mais il n’en reste pas moins d’une rare étincellance à laisser perplexe un individu. Les yeux d’Ayame sont d’un vert émeraude captivant, comme maquiller de violet très pâle sur les paupières, cependant vide de toutes émotions en présences d’autrui. D’ailleurs, son visage n’exprime guère d’émotion visible lorsqu’elle parle. Le ton même de sa voix n’inspire que le froid et sa seule présence peu donner froid dans le dos, car un seul regard sur ce visage inerte d’expression faciale est souvent effrayant. Surtout car le sourire n’est que très rarement aperçu sur son visage, sauf peut-être un mince rictus lors de rarissime occasion qui inspire le sadisme. Contrairement à Pein, Ayame ne porte pas son bandeau de Wutai sur son front, mais bien autour de son cou. Elle l’a d’ailleurs elle-même rayée le jour où le renégat l’a entrainé à déserté le village. Lui qui arbore un nombre quasi incalculables de piercings, Ayame n’en porte qu’un seul, et il s’agit d’une petite sphère argenté au niveau de sa lèvre inférieur, tout juste en dessous en fait. Cependant, ce genre de petit détail est souvent caché par le col de son kimono noir et rouge, arborant des nuages rouges sangs, insigne fidèle de l’organisation créé par son amant, l’Akatsuki. Par contre, tout comme Itachi, Ayame entrouvre quelques fois l’ouverture de ce kimono, dévoilant ainsi un haut découpé en carreaux au niveau du cou, d’une couleur sombre que l’on ne pourrait pas qualifier de noir cependant. Ce même haut est sans manche, cachant uniquement ses épaules, laissant ses bras à nus. Ses mains, terminées par de fins doigts de fées dont les ongles sont d’une teinte violette, sont extrêmement douces et agiles. Sa main droite arbore une bague portant l’insigne chinois signifiant « Blanc », porté sur le majeur droit. Elle porte une sorte de paire de collant noir, faisant vaguement pensées aux tongs que portent les hommes de l’Akatsuki. À ses mêmes bas sont attachés ses sandales ninjas, dont le talon est un tantinet relever, cependant, toujours plat, lui permettait de courir en cas de besoin.

> Apparence Psychologique : Dirait-on qu’Ayame porte très bien le pseudonyme que tout les membres de l’Akatsuki, hormis Pein, lui donne ? Au sein de cette prometteuse organisation qu’est l’Akatsuki, Ayame est surnommée « La Mystérieuse ». Non pas car elle ne se montre jamais ou cache bien des secrets, même si ce dernier choix est bien le cas, mais plutôt car c’est une personne extrêmement difficile à cernée. C’est une femme qui peut s’avéré d’une cruauté sans pareil, ainsi qu’un sadisme à faire frissonner un savant fou ou un criminel. La simple vue de son visage qui semble de marbre, voir sans vie, inspirant la mort, peu donner froid dans le dos et faire trembler les gens croisant ce regard vert éclatant et pourtant si vide d’expression. Derrière ce masque froid et inexpressif, Ayame cache cependant une intelligence démentielle pouvant dépasser les bornes… Elle aime, voir adore voir les autres souffrirent, mais étrangement, comme son bien-aimé, elle n’arbore aucune expression particulière à la vue de ce genre de torture. Sauf peut-être un mince et discret rictus naissant lentement sur ses lèvres rosées de temps en temps, lorsqu’elle est d’humeur. Étrangement, Ayame accorde une grande importance à son apparence physique. Si quelqu’un a le malheur de couper une de ses mèches de cheveux, il risque de subir le courroux de la jeune femme. Cependant, elle ne dramatise pas pour une simple mèche, mais l’importance est présente tout de même. Ayame arbore peut-être une expression livide, voir vide et inexistante, cependant ce n’est pas une femme sans cœur. Elle aime faire souffrir les gens. Elle adore entendre les cris de morts retentissant toujours dans ses oreilles tel un écho au creux d’une caverne glacée, mais elle possède un cœur qui fut depuis longtemps décongeler. Ou plutôt, sauver avant la congélation. Avant de tourner comme une ninja ne songeant qu’à son but ultime, qui était la force et l’apprentissage, Ayame connu Pein lors de la décision des équipiers des différentes teams de Wutai. Certes, elle ne lui accorda que peu d’attention au début, mais lentement elle suivait discrètement le jeune adolescent dans ses entrainements et comprenait bien plus à son sujet. Comme lui, elle était seule et songeait à devenir une puissante kunoichi. Cependant, le fait de s’être connue changea la vie des deux shinobis. Bien que son comportement ai été et est encore, d’ailleurs, d’une froideur imposante et d’un calme plutôt déstabilisant, l’amour qu’elle éprouve pour Pein est sans limite. Lui qui veille sur elle comme un trésor, elle, elle le surprotège. Tout ceci dans la plus grande des discrétions cependant, pour ne pas émettre un écho douteux dans l’organisation. Le Leader de l’Akatsuki avait prit la décision de cacher cette relation aux autres membres, choix qu’Ayame accepta immédiatement. De toute manière, le fait qu’ils soient dans la même équipe leur donnait des temps libres et seuls entres eux, un peu d’intimité, ce qu’Ayame aime.

Plusieurs personnes, même les membres du gang du nuage rouge, pense que la sombre chérubine ne sait point comment sourire ou même rire. Rire, peut-être pas, cependant, en présence de Pein et seulement lui, il lui arrive de faire un sourire sincère, chose que seul le Chef de l’Akatsuki avait l’honneur et le mérite de voir. Depuis le jour où le shinobi lui avait sauvé la vie, Ayame est resté fermement accroché à lui et avait obstinément refusé de le quitter, sans doute était-ce la raison pour laquelle elle avait déserté le village de Wutai pour le suivre. Peut-être que cela fut une pure folie, mais Ayame s’était toujours dit la même chose ; on fait des folies quand on aime, et son cœur était resté accrocher à la même personne depuis longtemps maintenant. Ses sentiments, elle ne les démontre qu’en présence de Pein, et personne d’autre ne possède la « permission » de voir cette certaine étincelle brillé dans le regard de la kunoichi. Une petite brillance, cependant présente quoi que quasiment invisible, démontrant de la tendresse et un coter chaleureux que personne ne connait d’elle. Mais ça, seulement Pein y a eu droit. Coter chagrin, comment est Ayame me direz-vous ? La dernière fois que des larmes sincères avaient glissé sur ses joues, c’était lorsqu’elle et son Leader bien-aimé avait échangé ce premier baisé sous la forte pluie, lorsqu’elle était quasiment aux portes de la mort. Depuis ce jour, Ayame avait apprit, lors de ses entrainements, à ravaler ses larmes. Cependant, elle ne peut affirmer les avoir oubliés. Elles pourraient refaire surface n’importe quand, et ça, la kunoichi en est parfaitement consciente. Ayame n’est pas une personne extrêmement patiente. Elle aime se faire attendre, mais déteste attendre. Trouvez l’erreur. C’est également quelqu’un qui se méfit très facilement, ce qui l’empêche de ce faire avoir par des jeux comme la manipulation. Elle déteste ce genre de chose d’ailleurs. La manipulation est un art digne des plus vils protagonistes, mais Ayame n’aime pas en faire usage. Seulement lors des situations extrêmes, rien de plus. Ce qu’elle aime cependant, c’est ressentir le délicat souffle du vent sur sa peau, être en présence de son aimé, le calme, le silence… Les petits plaisirs de la vie… et faire mal. C’est ainsi que l’on est lorsqu’on est dans l’Akatsuki. Une personne affreusement difficile à cernée. Ayame est spéciale me direz-vous. Certes, avouons-le. C’est d’ailleurs une femme qui prend facilement l’habitude de vouvoyer tout le monde, étant une femme remplit de politesse omniprésente dans sa manière d’agir envers autrui. Cependant, si vous lui tomber dessus, Ayame ne se gênera pas pour vous faire comprendre qu’il ne faut pas l’énervé pour un rien…
Bref, Ayame est une kunoichi qui vous en fera voir de toutes les couleurs…

> L'histoire de votre personnage : La naissance d’Ayame n’eu pas beaucoup de répercussion dans le monde de Gaia, pas plus que dans ce village de ninja qui, à l’époque, s’étendait sur la moitié du continent portant son nom. Elle vit le jour au sein d’une petite famille sympathique et bien normal, le père étant un ninja connu, la mère une femme au foyer qui depuis longtemps tentait vainement d’avoir un enfant et enfin sa chance était apparut lorsqu’Ayame était venue au monde. Elle grandit donc entre les bras accueillants d’une mère chaleureuse et d’un père batailleur. Selon eux, Ayame était une prétendue kunoichi qui prouverait sa force au sein d’un groupe masculin. Sa mère voulait absolument qu’elle prouve qu’une kunoichi était aussi forte qu’un ninja. Cependant, ce n’était pas le but premier d’Ayame. Elle, elle voulait entrée à l’académie, et suivre les traces de son bien-aimé paternel. La jeune kunoichi entra à l’académie vers la fin de ses trois ans. Ayame eu quatre ans alors qu’elle commençait à apprendre les techniques de bases. Comme tout ninja se respectant, la fillette apprenait rapidement, et comprenais très facilement la matière. Ayame fut cependant une des rares élèves à maitrisé le Genjutsu, l’art de l’illusion. Elle arriva, vers l’âge d’onze ans, à maitrisé le plus dangereux et le plus effrayant Genjutsu ; le Narakumi no Jutsu. Cette illusion consistait à faire voir le pire cauchemar de l’adversaire, et ainsi augmentant les risques de le rendre fou. Ayame était fière de ce Genjutsu, car elle était bien la seule à pouvoir en créé un de cette ampleur. Certains en étaient même jaloux. Mais cela ne dérangeait certes pas notre belle et jeune kunoichi, qui elle, conservait cette certaine fierté. À cette époque, Ayame laissait toujours ses cheveux détachés, créant une cascade bleuâtre tombant en d’épaisses mèches sur ses frêles épaules. Ses yeux étaient verts. Verts éclatants. D’une brillance inconnue qui fascinait quiconque croisait son regard. La kunoichi souriait très souvent à cette époque, un sourire amical et aimable, invitant quoi. Personne ne pouvait dire qu’elle était bien dangereuse dans ce temps là. Persévérante, elle se montra précoce dans ses apprentissages, mais elle eu tout de même son bandeau de shinobi vers l’âge de dix ans. Dès le lendemain matin, Ayame fut appeler à l’académie pour lui assigné une équipe, ainsi qu’un maître d’armes. La kunoichi se retrouva donc avec un jeune ninja novice, un maître d’arme stricte… ainsi que Pein, en tant qu’équipier et coéquipiers pour les missions à venir. Rencontré déterminante pour sa vie, sans doute.

Ayame était une adolescente souriante constamment joyeuse. Elle resplendissait d’une joie de vivre omniprésente dans son regard verdâtre scintillant, et la jeune fille était quelqu’un qui aimait rire, et s’amuser quoi. Elle adorait être en présence de ses collègues et « amis », cependant, Pein s’isolait très souvent du groupe, pratiquant encore et encore les Jutsu de Suiton. Ayame l’épiait souvent, observant attentivement ses techniques et comprenant peu à peu plusieurs choses sur le jeune shinobi qui ne se rendait même pas compte qu’il était espionné par une ninja novice. Elle ne le voyait vraiment qu’en compagnie de son maitre d’arme et de leur coéquipier, lors des missions de Wutai, et encore là, ce n’était que de bien court moment. Par contre, un jour, pendant un entrainement où Pein s’était de nouveau isolé, la kunoichi avait remarqué une étrange pluie qui s’était subitement mise à tomber lourdement. Cet étrange événement piqua sa curiosité, et elle ne pu certes s’empêcher d’aller à la recherche du shinobi qu’elle épiait depuis maintenant plusieurs années. Quatre ans en fait. Depuis un moment, à force d’espionner le shinobi, Ayame avait comprit que sa colère et sa tristesse causait une averse, et son bonheur, un soleil souvent frappant. Finalement, apercevant brièvement une étincelle de questionnement dans le regard de grenat du futur Leader, Ayame s’était finalement décidé à s’approcher pour lui dire ce qu’elle avait remarqué concernant cette soudaine pluie. Elle prit donc place près de lui sans même hésiter, repliant ses jambes contre sa poitrine, et l’observant avec un petit sourire avant de lui expliquer, avec toute la patience du monde, ce qu’elle avait constaté. Pein resta attentif, et pendant plus de six heures, la conversation alla de bon train. Ce qui les retenait, personne ne le savait vraiment. Peut-être l’hésitation de quitter l’autre, ou même leur simple patience. Eux qui étaient discrets, habituellement fermés au monde, car oui, même si Ayame souriait toujours et parlait beaucoup, elle n’avait jamais vraiment parlé « d’elle ». Après plusieurs heures de discussions, chacun connaissait l’autre comme s’ils avaient dessiné eux-mêmes leur partenaire, écrivant peu à peu son histoire, découvrant ses qualités et ses multiples défauts. Faiblesses et forces. Cependant, une chose restait inconnue chez l’un comme chez l’autre ; leur sentiment inconnu, pourtant réciproque. Par contre, ils furent obligés de ce rendre compte que le temps passait rapidement. Ayame avait remarqué qu’en sa présence, le ciel s’était lentement éclairci, signe que Pein ne trouvait pas la présence de la kunoichi désagréable. D’ailleurs, avant de quitter, le shinobi avait discrètement glissé une fleur blanche dans les cheveux bleus d’Ayame, cette même rose blanche qu’arbore aujourd’hui la kunoichi. Malgré l’hésitation qui hantait leur cœur, ils durent se séparés, pour cause du temps qui passait… cependant, Ayame se retournait souvent, comme si elle aurait espéré que ce moment de ce finisse jamais. Malgré cela cependant, les deux shinobis devinrent lentement inséparable les mois suivants, les meilleurs amis du monde pourraient-on dire…

Ce qui chamboula la vie des deux ninjas fut le jour où la ShinRa se décida à soudainement attaquer Wutai. Ce jour là, trois ans avait passé depuis cette fameuse journée. Ce moment où ils avaient discuté pendant des heures et découvert l’autre comme jamais ils n’auraient imaginé leur partenaire. Cependant, cette journée là, tout allait basculer lorsque la guerre de Wutai commença. Elle avait quinze ans, Pein en avait dix-sept. Hormis l’âge qui les séparaient, leurs liens étaient maintenant d’une force de fer, tellement qu’ils ne semblaient pas se préoccuper de leur maitre d’arme et de leur second coéquipier, mais plutôt de savoir si l’autre allait bien à la moindre occasion. Le shinobi arrivait aisément, avec une force qui étonna même leur maitre d’arme, à lutté contre des SOLDATs de première classe, eux qui étaient réputés pour être de terrible combattant. Cette foutue guerre dura approximativement un an, mais tous savaient que la défaite serait présente lors de sa fin. Cependant, personne ne baissait les bras, même si leurs efforts fut en vint. Un jour, Ayame et le reste de son équipe eurent pour mission de mettre à sac une compagnie de mèche avec la ShinRa, rien de bien difficile, mais ils durent se séparés pour cette mission. La kunoichi faisait très bien son boulot, dans les règles de l’art, cependant cela devint plus compliquer lorsqu’elle tomba nez à nez avec un SOLDAT de première classe… Contrairement à Pein, elle ne possédait pas la force de les combattre, et profitant du fait que la jeune ninja était figée sur place, le SOLDAT ne se fit pas prié pour lui montré ce qu’il était apte de faire. Ce ne fut que quelques minutes plus tard, ou plutôt trop tard, que le shinobi aux yeux orangés étaient arrivés près d’elle, pressentant sans doute le danger potentiel dont Ayame fut victime. Certes, l’ont aurait pu dire de ce moment que la kunoichi était quasiment aux portes de la mort, mais elle respirait encore aisément, malgré qu’elle était atrocement blessé par l’attaque. Cependant, Ayame n’était pas prête à mourir. Pas maintenant. Elle savait qu’elle avait quelque chose à faire, à dire peut-être aussi, et ne se donnait pas la permission de quitter ce monde maintenant. Il était trop tôt. Lorsque Pein la prit dans ses bras, laissant tomber une averse exprimant sa tristesse et sa colère à cet instant, Ayame comprit ce qu’elle devait… ou plutôt voulait faire. La faiblesse lui coupait cependant la parole, ses gestes aussi, quasiment. Mais cela ne l’empêcha pas d’entendre parfaitement les paroles de Pein. Ce dernier lui avoua des sentiments refoulés depuis des années maintenant. Il l’aimait donc. Cependant, Ayame ne sembla pas étonner. Au contraire, un mince sourire avait éclairé ces lèvres malgré les souffrances que le moindre mouvement pouvait lui causer. Sous cette pluie battante qui exprimait l’inquiétude et le chagrin que ressentait le shinobi, ce dernier l’embrassa, ne se souciant certes pas de ce qui se passait autour d’eux. Cependant, Ayame ne fit rien pour le repoussé. Ce fut court, car l’équipe de secours arrivait déjà afin de sauver la kunoichi qui risquait de mourir sous ses blessures. Par chance, et on ne sait par quel miracle, Ayame fut sauver des griffes de la mort. Mais cet événement eu un effet bénéfique sur sa relation « amicale » avec Pein, qui s’amplifia peu à peu. Ils formaient maintenant un couple quasiment inséparable, quoi qu’ils ne fussent pas du genre à rester sur les bancs publics et à s’embrasser à longueur de journée.

Cependant, ce triste incident qui faillit couter la vie d’une des ninjas de Wutai, poussa Ayame et Pein hors du champ de bataille, la kunoichi étant en convalescence, et Pein fut jugé non apte à combattre à cause de son état psychologique. Ayame était donc résigné à rester à l’hôpital, le temps que son état redevienne stable, ce qui prit tout de même plusieurs semaines, voir quasiment un an. Wutai avait perdu la guerre, ce qui attrista les gens du village. Plusieurs personnes avaient perdus des membres de leur famille… Ayame aussi. Alors qu’elle était toujours à l’hôpital, on vint lui annoncer que ses parents avaient perdu la vie durant la guerre. Cette triste nouvelle refroidit l’adolescente qui, pendant une nuit entière, pleura toute les larmes qu’elle pouvait trouver la force de verser. Personne ne vint la voir cependant. Ils la laissèrent dans sa tristesse et son chagrin personnelle, personne ne semblant même osé s’approcher d’elle pour tenter de la consoler. En fait, en ce moment, alors qu’elle fixait la fenêtre en pleurant, la kunoichi aurait donné n’importe quoi pour pouvoir sortir de cet endroit et rejoindre Pein. Cependant, ils ne la laisseraient pas sortir dans son état, aussi bien mentale que physique. Sa mère, elle qui était une femme si douce, si attentionné envers elle, avait perdu la vie, son père aussi. Ce dernier fut un batailleur, un combattant de sang… Mais il était également mort. Il faut dire qu’à quinze ans, le choc émotionnel d’une telle annonce est fort. Cependant, elle ne souffrit pas de séquelle face à cet événement. Simplement, Ayame devint une femme froide et cruelle suite à ses événements… Lorsqu’elle sortit de l’hôpital, Pein ne sembla pas remarquer se soudain changement chez elle. Il lui expliqua brièvement ses intentions, et Ayame se dit prête à le suivre. Elle n’avait plus rien maintenant à Wutai de toute manière. Pendant cinq ans, les deux shinobis préparaient une revanche propre à Pein, mais la kunoichi l’aidait dans cela. Le ninja avait créé une statue qu’il prénomma Anima, qui servirait d’extracteur de pouvoir. Le futur Leader lui expliqua ce qu’il comptait faire, recruté huit autres membres, et ainsi former une organisation propre à lui, dont il en serait le Leader, pour retrouver ses fameux pouvoirs… Le but premier était de s’attaquer à la ShinRa, mais lorsqu’elle disparut, le shinobi sembla se tourner contre son propre village. Wutai n’était même plus digne d’exister, même Ayame n’y voyait plus l’intérêt. Surtout pas l’intérêt d’y rester. Elle hésitait cependant à quitter les lieux comme ça, sans prévenir. Mais quand Pein lui annonça qu’il allait déserter le village, elle n’hésita pas une seconde à le suivre. La kunoichi se souvient d’ailleurs encore ce qu’elle lui avait dit ce jour là. « Je n’ai plus rien ici, de toute manière. Tu étais en fait la seule raison pour laquelle je restais à Wutai. Alors si tu pars, je te suis. ». C’était exactement cela qu’elle lui avait dit. C’est d’ailleurs ce jour là qu’Ayame commença à constamment laisser ses cheveux attachés, et à toujours porter cette fameuse rose qu’elle conserve d’ailleurs toujours, et ce depuis neuf ans.

Hormis les désirs de Pein et son envie de se venger, ce fut une longue errance de trois ans qui les attendaient. Le shinobi et la kunoichi avaient maintenant désertés le village depuis trois longues années, cependant leur absence sembla portée inaperçu, puisque personne n’avait lancé d’avis de recherche. Cela contenta Ayame. Car cela leur privait de toujours fuir ceux qui les chercheraient. L’objectif premier de Pein était, maintenant, de retrouver les femmes qui contenaient ce fameux pouvoir, et ainsi acquérir l’Ultime. Lorsque des vasques de téléportations furent créées pour vaquer entre les différents mondes, le shinobi créa des clones de lui-même et de sa bien-aimée, recrutant ainsi des membres potentiels pour leur projet. C’est d’ailleurs ainsi que fut créé l’Akatsuki, l’organisation du nuage rouge dont Pein était lui-même le Leader…

Test Rp > Un silence de mort planait dans un des multiples repères de l’Akatsuki. Seule la respiration répété et lente d’Ayame brisait le silence pesant. Cependant, un profond soupir d’ennui se fit également entendre, provenant des lèvres rosâtres. Ayame voulu alors tourner les talons, mais quelque chose attira son attention. Une approche… Une énergie intense se faisait sentir maintenant. La kunoichi ne bougea pas de son emplacement, respective à son propre mutisme. La jeune femme promena ses yeux dans la pièce qui était encore noir, et lentement la lumière pénétra la salle. Un mince filet, suivit d’un bruit sourd d’un roulement de pierre contre une paroi rocheuse. Cependant, deux silhouettes se dessinaient à présent contre le mur. Deux ombres identiques. Ayame fronça les sourcils… un binôme ? Elle ne se tourna pourtant pas pour découvrir la véritable facette de ses personnes. Elle était toujours de dos à l’entrée, laissant la lumière du jour frapper son dos, lui procurant une sensation de chaleur désagréable, puisque ce lieu était frait à l’origine. Des bruits de pas lent, puis une voix qu’Ayame reconnu bien. Cette même voix dit au revoir à un clone, donc ce n’était pas un binôme. Un bruit sourd, le même que plus tôt ; la pierre venait de lourdement retomber, plongeant de nouveau le repère dans le noir total. Cependant, les flammes qui décoraient le quartier général s’illuminèrent immédiatement, faisant briller d’un éclat fantomatique la peau blanche de la kunoichi de Wutai. Cette dernière tourna d’ailleurs son regard sur le coter, mais elle ne se tourna toujours pas. Cela ne pouvait être qu’un membre de l’Akatsuki, car personne ne pouvait entrer ici sans les fameuses bagues. La nukenin attendit encore un court instant, car cette même personne s’approchait de manière méfiante vers elle. Ayame entendit alors son nom, ce qui attira son attention, et finalement la criminelle se retourna d’un pas lent, et reconnu Kisame Hoshigaki. Un homme requin. Le nukenin resta à une distance assez respectable, et affirma que c’était bien la première fois qu’il voyait la seule femme de l’Akatsuki en chair et en os, et non en hologramme. « Hors de sa cachette » comme il disait.

Aucun membre de l’Akatsuki ne savait vraiment où se cachait Ayame et avant, ni même où se trouvait le Leader en ce moment. C’était les fins délices du mystère… Ils étaient insupportables, mais si attrayants et enviant. Cette pensée fit apparaitre l’ombre d’un sourire sur le visage pâle de la kunoichi. Sourire qui disparut lorsque Kisame lui demanda si elle était venue pour une réunion, ou si comme lui elle était venue de son plein gré, sous la trop forte pression de l’impatience. De la bouche de Kisame, entendre cette phrase, « vous méritez bien votre titre », était quasiment considéré comme un compliment. La kunoichi n'afficha cependant aucune expression comme remerciement, elle se contenta d’arquer un sourcil. « La Mystérieuse ». Voilà son titre. Elle fut toujours surnommée ainsi car jamais elle n’était vraiment venue à l’Akatsuki en présence des autres membres de l’organisation. Le sourire carnacier de Kisame perdit son ampleur après avoir parler. Les deux criminels se regardaient maintenant intensément, l’une pesant ses mots, l’autre attendant une réponse. Ayame laissa alors doucement glisser ses mains le long de son propre corps, avant de tendre ses bras vers le bas, restant droite et n’ayant visiblement pas l’intention de bouger.

« Kisame-kun… C’est bien la première fois que je vous vois en chair et en os… »

Elle le vouvoyait par pure politesse. Ayame était une femme polie, malgré son titre de criminelle de rang S. La kunoichi avait beau avoir déserté Wutai depuis des années, la politesse et le respect oblige entre les membres. La nukenin n’était pas comme Hidan ou Kakuzu, qui eux s’engueulaient tout le temps. Elle détestait le désordre dans cette organisation criminelle, et pourtant cela arrivait tellement souvent… Surtout quand Deidara s’y mettait avec ses insolences répétées. Alors qu’Ayame allait finalement répondre à l’homme requin, la pierre de l’entrée glissa sur elle-même à nouveau, attirant le regard de la kunoichi. Cette dernière remarqua alors une petite silhouette, comme une personne recourbée, un vieil homme pourrait-on dire. De nouveau, elle arqua un sourcil curieux en regardant cette même personne. L’étoffe qu’elle portait était bel et bien celle de l’Akatsuki, mais Ayame ne distinguait que la silhouette, et quelques parcelles de son kimono. La pierre retomba lourdement dans l’eau, créant le noir, sauf là où se trouvaient Ayame et Kisame. La silhouette se rapprocha alors des deux nukenins qui allaient sans doute commencer une discussion avant l’arriver de ce membre de l’Akatsuki. Ayame en avait le cœur net simplement en le voyant arriver, car comme précisé plus tôt, seuls les possesseurs des bagues de l’Akatsuki pouvaient entrer en ces lieux.

Une intonation provint alors de cette marionnette qui s’était maintenant présenté dans la chaude lumière des flammes dansantes. Comme s’il se posait une question. Certes, le Leader n’avait pas convoqué les membres pour une réunion, alors cela pouvait être étonnant de voir trois membres de cette même organisation criminelle dans leur repère, et ce sans raison apparente. Ont pourrait qualifier ce moment de retrouvaille, si au moins ses deux personnes avaient déjà vu Ayame en chair et en os. Sauf pour le kimono couvert de nuages rouges, cette même personne – à l’occurrence elle-même – pouvait sembler être une inconnue pour eux. Mais elle était distincte, étant la seule femme de l’Akatsuki. D’ailleurs, Ayame les connaissaient tous, et elle reconnu, sous cette marionnette caractéristique, le scorpion rouge de Wutai…

« Sasori-kun, vous êtes donc ici également ? »

La nukenin promena son regard sur les deux nukenins. Elle prit alors la décision de répondre à la première question, posée par Kisame.

« Je suis venue ici de mon plein gré. Trop de mois se sont écoulés depuis la dernière réunion des membres de l’Akatsuki. Je suis apparut sans être sous forme graphique… Car je crois qu’il était temps pour moi de véritablement venir en ces lieux. »

La voix d’Ayame était d’un calme impeccable, comme immaculé de tout sentiment. La kunoichi se contentait de rester silencieuse suite à ses paroles, avant de joindre ses mains devant elle à nouveau, regardant les deux membres de l’organisation avec un regard n’inspirant que le froid des hivers les plus frappants...

Ah voila une belle fiche comme je les aimes ! On va pouvoir comencer a RP ! Magnifique ! Validée bien sur ! Et Enjoy ! Wink

» Ayame [ninja]